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FinancesFusion Acquisition

Baker Tilly : Disposer d’informations fiables, une nécessité dans les opérations de fusion-acquisition

Par Benoît Morin | Publié le 16/07/2025

Les opérations d’acquisitions ou de cession d’entreprises peuvent avoir de multiples motivations : volonté de passer la main ou de mener d’autres projets pour le cédant, de se renforcer ou de s’ouvrir à d’autres marchés pour l’acquéreur. Elles ont cependant en commun d’être complexes, souvent longues et toujours à fort enjeu pour l’ensemble des parties prenantes du fait des risques pris par chacun. Pouvoir s’appuyer sur des données fiables et une analyse aussi complète et fine que possible de l’entreprise qui sera cédée ─ et de ses perspectives ─ est dès lors une nécessité, à laquelle répond l’expertise du groupe Baker Tilly.

Une étape incontournable de toute cession ou acquisition

La vente comme l’achat d’une entreprise, qu’il s’agisse d’une PME, d’une ETI ou d’une entreprise plus importante, obéit à des parcours intangibles. Il s’agira tout d’abord de trouver l’interlocuteur ─ cédant ou acquéreur ─, ainsi que l’intermédiaire, le plus souvent une banque d’affaires ou un cabinet spécialisé dans les opérations de transmissions. En préalable à l’accord final s’ensuivront des négociations portant sur le prix de cession, la valorisation de l’entreprise donc, mais aussi les garanties à apporter par le cédant ou son accompagnement éventuel une fois la transaction signée. Mais pour mener à bien ces étapes indispensables, l’ensemble des parties doivent disposer d’informations sur lesquelles se baser pour mener à bien les différentes négociations et défendre leurs intérêts ─ et aboutir à leur convergence.

Ce processus d’audit, la due diligence, est mené par des cabinets spécialisés comme Baker Tilly. « Le cédant comme l’acquéreur vont bien sûr intégrer leurs interlocuteurs habituels dans ces opérations pour les conseiller sur les questions qui relèvent de leurs compétences : l’avocat pour les questions juridiques, l’expert-comptable, le notaire ou le conseiller en gestion de patrimoine le cas échéant… Mais aussi compétents soient-ils, ces partenaires ne peuvent avoir individuellement la vision globale sur l’état de l’entreprise que nous pouvons faciliter à apporter, et qui est nécessaire à la réussite des deals » indique Christèle Fraisse, Managing Director de l’activité Transaction Services de Baker Tilly.

Une approche holistique des problématiques

Adopter une vision globale nécessite cependant de mobiliser un grand nombre d’expertises, diverses mais toutes aussi cruciales les unes que les autres, ainsi que de sortir d’une approche strictement comptable ─ même si les chiffres restent, in fine, déterminants. Pour ce faire, Baker Tilly s’appuie sur les compétences de ses consultants, tous experts dans leur domaine de spécialité. « Nous accompagnons toutes les entreprises, avec une forte appétence pour les PME et ETI, dans tous les secteurs. Mais nous ne sommes pas pour autant des généralistes, et notre excellence dans l’analyse des situations nous incite à davantage nous présenter comme des multi-experts ».

Cette pluri expertise est particulièrement précieuse aux ETI et PME, qui ne disposent pas toujours d’importants services dédiés à l’analyse en interne et dont les dirigeants sont avant tout des experts de leur métier. Pour des sujets tels que le social, le fiscal, le juridique, l’IT ou encore les questions relatives à l’ESG ; les chefs d’entreprises rencontrent souvent des difficultés à pouvoir fournir les informations attendues par l’autre partie.

« Ces informations sont pourtant cruciales. Du point de vue du cédant, elles exerceront leur influence sur la valorisation de l’entreprise, ainsi que sur les demandes de garanties demandées par un acquéreur. Du côté de ce dernier, pouvoir s’appuyer sur ces informations pourra nourrir sa réflexion, car l’acquisition d’une entreprise répond à une logique stratégique, en vue de consolider ses positions, de s’ouvrir à un marché connexe ou de diversifier son activité. Mais dans tous les cas, les dirigeants comme les fonds d’investissement ou les family offices doivent pouvoir estimer le risque que représente l’opération ; et s’appuient donc sur notre analyse, objective et extrêmement poussée, pour prendre leurs décisions » souligne Christèle Fraisse.

Cette expertise s’étend aux sujets d’ESG, devenus incontournables pour les entreprises ces dernières années même si le contexte actuel, notamment marqué par les tensions sociales et géopolitiques a pu faire reculer la perception de leur importance par le grand public. « Nous constatons que pour les acteurs financiers, ces questions restent majeures, et malgré les reculs politiques que l’on peut observer, l’apparition de référentiels acceptés par tous permet désormais de mieux intégrer ces sujets dans les reportings. Car l’ESG n’est pas qu’une problématique sociétale : les tensions sur l’eau dans telle ou telle région peuvent par exemple avoir leur importance pour certains secteurs. Même si l’ESG est encore à certains égards la « dernière brique », elle participe à la valorisation d’une entreprise à travers l’évaluation de risques à court ou long terme » précise Arnaud Bergero, Associé Baker Tilly et Directeur Général de Goodwill-management, filiale du Groupe spécialisée en stratégie de soutenabilité.

L’analyse extrêmement fine des équipes du groupe Baker Tilly ─ souvent bien plus approfondie que celles réalisées par les entreprises elles-mêmes, par manque de temps ou de ressources en interne ─ permet notamment de déterminer les futurs points de friction ou d’amélioration, tels qu’une ligne de produits sous-développée ou mal exploitée. Les cédants peuvent ainsi corriger ce qui peut et doit l’être en amont des opérations afin d’aborder celles-ci dans les meilleures conditions, et les acquéreurs entamer les réflexions stratégiques préalables à l’intégration de l’entreprise au sein de leur groupe. Les fonds d’investissements ou les family offices, généralement peu à l’aise avec des questions opérationnelles qui ne sont pas leur cœur de métier pourront ainsi déterminer les recrutements à prévoir.

Baker Tilly, un rôle-clé dans les opérations de fusion-acquisition

De par l’importance des informations fournies et ses expertises multiples, Baker Tilly exerce régulièrement une influence importante dans les opérations, facilitant et coordonnant le travail des autres parties prenantes telles que les avocats ou experts comptables, sans pour autant se substituer à eux. « Cette coordination, souvent exercée par les banques d’affaires mais dont nous pouvons nous charger en leur absence, est essentielle ; car les autres acteurs, de par leur spécialisation peuvent avoir une vision tunnel. Or, le silotage nuit grandement à l’efficacité de l’ensemble, et peut parfois allonger les opérations, voire provoquer leur échec » explique Christèle Fraisse.

« Baker Tilly tire sa légitimité de son savoir-faire reconnu, mais également de sa proximité avec ses clients. Nous avons certes une envergure mondiale (qui nous permet d’accompagner des opérations à l’international), mais nos 60 bureaux en France nous apportent une connaissance fine des réalités des entreprises. Cette vision résolument entrepreneuriale et l’écoute de nos clients, de leur vécu, sont au centre de notre approche et, surtout, des valeurs qui soutiennent notre expertise. » complète Arnaud Bergero.

Plus d’informations sur Baker Tilly :

Site : https://www.bakertilly.fr/services/conseil-advisory/corporate-finance

Mail : JOURNET Olivier ; olivier.journet@bakertilly.fr