Dans un univers juridique où les algorithmes promettent la solution rapide, LEGALSUP affirme une vision différente : le droit n’est pas une équation linéaire, mais une aventure humaine. Face à la montée des plateformes purement automatisées, elle replace le professionnel (avocat, notaire, commissaire de justice) au cœur du conseil, pour préserver la pertinence, la contextualisation et la nuance.
Aujourd’hui, près d’un Français sur deux recherche ses réponses juridiques sur Chat GPT ou Google avant de franchir la porte d’un cabinet. Pourtant, derrière ces interfaces standardisées se cache souvent une logique aveugle : un moteur d’IA qui minimise un risque, ignore un contexte culturel ou familial ou interprète mal une donnée, générant des décisions inadaptées.
Une société novatrice
LEGALSUP est simple mais stratégique : un modèle hybride, en deux temps. D’abord, un questionnaire structuré en ligne permet de qualifier la situation du demandeur ; puis un professionnel examine les éléments, affine l’analyse, prend en compte les subtilités humaines. Le numérique normalisé, l’humain nuance.
À ses débuts en 2022, LEGALSUP reposait sur un système de codes couleurs — rouge, orange, vert — pour évaluer les risques juridiques. Mais l’expérience n’a pas tardé à exposer ses limites : certains scénarios trop complexes ou mal renseignés échappent à ce traitement binaire. Aujourd’hui, l’entreprise reconnaît que le tout-automatique est incapable d’intégrer la singularité, d’écouter les zones d’ombre, les paradoxes. D’où sa transformation vers un modèle responsable, dans lequel la technologie structure mais n’impose pas.
L’humain est de retour
Ce positionnement audacieux la distingue nettement des legaltechs classiques : LEGALSUP ne se vend pas comme un outil qui remplace l’avocat, mais comme un pont entre la rapidité du digital et la profondeur du conseil humain. Le service s’adresse à tous — particuliers et entreprises — et garantit que la décision finale ne quittera jamais les mains d’un expert réglementé.
L’enjeu est double. Pour les usagers : un accès au droit simple, mais fiable, capable de reconnaître ce que l’IA ne voit pas. Pour les professionnels : une valorisation de l’expertise, dans un dispositif moderne, éthique, et performant. LEGALSUP propose une alternative exigeante à la banalisation juridique : que le numérique serve l’humain — et non l’inverse.
