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TravelPerk devient Perk : son IA qui met en avant le « vrai travail »

Par Nathan Guillemant | Publié le 12/11/2025

C’est un nouveau visage, mais aussi un nouveau nom qu’arbore TravelPerk. La marque lance une plateforme inédite qui unifie la gestion des voyages et des dépenses en une seule expérience, fluide et optimisée par l’IA. Un changement de nom qui vient ainsi acter ce virage stratégique.

Supprimer le travail de l’ombre

Selon une nouvelle étude menée par Forrester Consulting pour Perk, le travail de l’ombre, ces tâches invisibles et chronophages, coûterait 1700 milliards de dollars par an aux entreprises. Les États-Unis arrivent largement en tête avec 564 milliards de dollars, suivis de l’Allemagne avec 220 milliards. La France, elle, enregistre un coût de 116 milliards. Toujours selon cette étude, les employés perdraient 7 heures par semaine dans ces micro-tâches, ainsi que 11 minutes de concentration à chaque fois qu’ils reprennent leur vrai travail.

La plateforme Perk automatise près de 67 % des tâches considérées comme non essentielles et particulièrement frustrantes : réservation de voyages professionnels, saisie des dépenses, gestion des factures fournisseurs ou organisation d’événements internes. Perk propose une expérience où les règles sont définies une fois pour toutes et appliquées automatiquement à l’échelle de l’entreprise.

Mettre le « vrai travail » en avant

La mission de Perk est claire : propulser le « vrai travail ». Elle s’appuie sur une gestion entièrement optimisée par l’IA. Perk Pay, par exemple, permet aux entreprises d’émettre des cartes physiques pour simplifier les paiements, tout en gardant un œil sur chaque transaction. Le système réduit les risques de fraude et offre une visibilité mondiale des dépenses.

Un œil sur le travail de l’ombre en France

Si la perte de temps moyenne est de 7 heures par employé et par semaine, elle n’est que de 4 heures en France, soit 3 heures de moins. Dans l’étude Forrester Consulting, 38 % des participants estiment que le travail de l’ombre contribue au burn-out, et 36 % indiquent que le volume de ces tâches non essentielles augmente d’année en année.